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S.O.S écriture

Est dysgraphique, selon la définition du professeur J.de Ajuriaguerra,

"tout enfant chez qui la qualité de l'écriture est déficiente alors qu'aucun déficit neurologique ou intellectuel n'explique cette déficience".

 

La dysgraphie est un trouble de l'écriture.

Elle atteint l'écriture dans son aisance, sa rapidité, sa lisibilité.

On parle de dysgraphie quand l'écriture est trop lente, fatigante, illisible.

 

Pourquoi rééduquer l'écriture ?

 

A l'heure actuelle dans le milieu scolaire, plus de 20% des élèves sont dysgraphiques, en majorité des garçons, combien d'entre eux sont détectés et reçoivent une rééducation adaptée, leur permettant de retrouver l'aisance dans l'écriture et le bien être ?

 

Dès que l'écriture s'améliore, le comportement de l'enfant change : son problème est dédramatisé.

 

Il prend conscience qu'il n'est ni coupable, ni même responsable de sa mauvaise écriture et que celle-ci peut s'améliorer "sans faire des lignes" mais de façon ludique.

 

Il est soulagé et reprend confiance en lui.

 

A l'école, il écrit plus vite, de façon plus spontanée, et n'est plus à la traîne ; il peut mieux se relire et corriger ses erreurs.

 

Enfin, il peut se détacher de la lettre pour accéder à l'idée.

 

N'étant plus en échec total, il communique mieux et davantage ; l'image de soi étant meilleure, l'écriture s'améliore encore.

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